L’Histoire : Une nation de plus en plus nombreuse de singes évolués, dirigée par César, est menacée par un groupe d’humains qui a survécu au virus dévastateur qui s’est répandu dix ans plus tôt. Ils parviennent à une trêve fragile, mais de courte durée : les deux camps sont sur le point de se livrer une guerre qui décidera de l’espèce dominante sur Terre.
Dès la séquence d’ouverture de « La planète des singes : l’affrontement » avec ces cerfs poursuivis par une troupe de singes armées de pieux acérés, l’on est saisi par la qualité des effets spéciaux absolument parfaits. L’œil à beau chercher les failles à l’écran, mais là rien à dire on assiste de bout en bout (le film fait près de 2h10mn) à un film de science fiction de haute volée, emmené par un casting quatre étoiles, avec en tête Andy Serkis une nouvelle fois stupéfiant dans le rôle de César et un Gary Oldman toujours aussi impressionnant. Jason Clarke aperçu dans « Zero Dark Thirty » est lui aussi au diapason avec ce rôle de chercheur qu’il épouse avec brio. Spectacle total, mélange subtil de moments d’action pur et d’autres davantage dans le registre de l’émotion, ce second volet s’avère encore plus spectaculaire et touchant que le premier épisode. Jamais manichéen, montrant parfaitement comment la haine peut s’insuffler dans les corps et les esprits, le film rempli à la perfection son cahier des charges. Matt Reeves, le réalisateur de « La planète des singes : l’affrontement », a su mener à bien son projet et nous de nous imaginer déjà trépignant d’impatience à l’idée d’un troisième volet ! Un des blockbusters de cet été à ne manquer sous aucun prétexte. Une réussite qui s’inscrit déjà comme un classique de la SF. Brillant. Ma note:5/5.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19546235&cfilm=206986.html
Un pale reflet de notre temps*… que l’on soit d’un bord ou de l’autre, l’action considérée ou inconsidérée même minime d’un individu peut avoir des répercussions désastreuses au final sur l’intérêt des groupes en question qu’ils soient de bonnes intentions ou non…. Le leitmotiv reccurent du Meneur sur les Menées que ce premier soit Tyran ou non et dans le cas du Tyran effectivement on ne peut qu’approuver Einstein en ces mots « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, et par ceux qui les regardent sans rien faire. … N’est pas Chef qui veut !!! Un très bon film plein d’émotion, de valeurs et plein d’autres choses.
Cesar aurait pu faire pâlir un Klingon car il corrobore en tout point à la maxime : « Un vrai Chef ne cherche pas le pouvoir il lui est imposé »
Le tout visuellement bien accompagne et bien filmé; mais de cela je n’en doutais pas vu le précédent volet…
Pour résumer le film : Qapla ( Reussite en Klingon)
(* tiré de l’affiche Flesh and Blood de Verhoeven)
J’ai bcp aimé l’Orang Outan
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The Dude …Brillant comme d’Habitute dans l’Art de cerner les sujets
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Bonsoir ! ah oui l’Orang Outan est vraiment touchant, je l’ai beaucoup aimé également. Merci pour ton commentaire riche qui apporte un autre éclairage sur ce bien joli film. Bonne soirée et @très vite sur notre planète wordpress 🙂
Frédéric ou The Dude. 🙂
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c’est cool, merci à toi ! 😉 @très vite pour d’autres news cinéma ps: demain, je vais voir « Lucy » de Luc Besson.. je ne sais pas trop à quoi m’attendre ou plutôt si loll.. attendons de voir 🙂
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