L’année 2013 est presque achevée et voici venu le temps des bilans. J’ai chroniqué pas moins de 26 films vu au cinéma cette année soit 3 de plus qu’en 2012. Curieuse année s’il en est avec à mon sens une constante qui est celle-ci, la déception ressentie à quelques rares exceptions près devant les œuvres de cinéastes pourtant très renommés. Le reproche fondamental que je fais à ces œuvres est que la forme à pris le pas sur le fond. C’est beau, voir très beau mais c’est aussi d’un ennui.. Malick, Paul Thomas Anderson, les Wachowski, James Gray, Michel Gondry, Sofia Coppola et j’en passe et des meilleurs, tous ont aboutis à des films mineurs au regard de leur filmographie. Pour les blockbusters c’est aussi la soupe à la grimace avec le flop « Lone ranger » de Gore Verbinski, un Guillermo Del Toro sous anti inflammatoire et surtout une énième offense de Peter Jackson à ce pauvre JRR Tolkien qui n’en demandait pas tant. Au milieu de ce champ de ruine, heureusement surnage quelques pépites ici et là disséminées. Mais assez parlé et place à mon top 5 des films de l’année 2013 !
5) « Oblivion » de Joseph Kosinski
Box Office France : 1 320 786.
L’Histoire : Sur une planète Terre devenue méconnaissable, la confrontation d’un homme avec son passé va le mener sur le chemin de la rédemption et de la découverte alors qu’il se bat pour sauver l’humanité de sa perte.
Joseph Kosinski adapte ici son propre roman graphique intitulé « Oblivion ». Ne cherchez pas d’originalité dans cette histoire de pure SF comme on les aiment. Les atouts d’Oblivion sont tout autres avec tout d’abord un casting haut de gamme : Tom Cruise en tête d’affiche, qui n’est peut-être jamais aussi bon que dans ce style de film, ajoutons à cela l’ensorcelante Olga Kurylenko, déjà vu cette année dans le dernier Malick, et vous obtenez là un point fort indéniable. A cela, j’ajouterais une photographie et des effets spéciaux splendides, des scènes d’action de hautes volées, une musique composée par M83 qui rend la première demi heure du film d’une beauté sidérante. Alors oui, Oblivion n’est qu’un canevas de scénarios déjà vu ou entendu ici et là, pas révolutionnaire donc, ponctué de quelques moments assez lénifiants il faut bien le reconnaître, les péripéties sont parfois improbables et disons le tout de go l’on devine assez aisément celles qui animent le dernier tiers du long métrage mais pourtant Oblivion emporte la mise avec un panache qui force le respect du cinéphile que je suis. Ses points faibles recensés ne le rendent que plus attachant encore. Ne nous y trompons pas nous sommes là face à un pur divertissement mais de haute volée, un objet jouissif que tout amateur de SF digne de ce nom possédera dans sa Bluraythèque. Beau comme un soleil couchant sur une terre dévastée « Oblivion » saura vous faire passer un bon et beau moment de cinéma. Un classique que je vous recommande chaudement. Ma note :5/5.
4) « Gravity » de Alfonso Cuaron
Box Office France : 3 991 319.
L’Histoire : Pour sa première expédition à bord d’une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l’astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu’il s’agit apparemment d’une banale sortie dans l’espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l’univers. Le silence assourdissant autour d’eux leur indique qu’ils ont perdu tout contact avec la Terre – et la moindre chance d’être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d’autant plus qu’à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d’oxygène qu’il leur reste. Mais c’est peut-être en s’enfonçant plus loin encore dans l’immensité terrifiante de l’espace qu’ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre…
Retour sur terre après 1h30 de film en mode « Mayday Houston.. on a un problème.. » Je persifle un peu mais c’est pour le bon mot car « Gravity », unanimement salué par la critique, est incontestablement un très grand film de science fiction et ce pour de multiples raisons. Je suis ainsi resté scotché par une 3D exceptionnelle à tout point de vue, bluffé par les effets spéciaux qui sont à tomber, tenu en haleine enfin par cette construction astucieuse voulu par un Alfonso Cuaron qui a réalisé ici un travail d’orfèvre. C’est aussi pour vivre des moments comme cela que l’on aime autant le cinéma. Alors oui, le casting est à mon sens assez improbable, avec un Clooney qui fait son Clooney et une Sandra Bullock qui, malgré des efforts louables, ne m’a pas encore pleinement convaincu ici mais là n’est pas le soucis, car « Gravity » est bien au-delà de tout cela. C’est un voyage dans l’espace ponctué de purs moments de grâce, un moment de magie cinématographique qui nous voient ouvrir de grands yeux écarquillés d’enfants. Maîtrisé d’un bout à l’autre, doté de moments d’anthologie qui en font à mon sens un petit chef d’œuvre à l’esthétique dévastatrice. Un des films marquants de cette année 2013 à n’en pas douter.
Ma note :5/5.
3) « 9 mois ferme » de Albert Dupontel
Box Office France : 1 865 440.
L’Histoire : Ariane Felder est enceinte ! C’est d’autant plus surprenant que c’est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c’est que d’après les tests de paternité, le père de l’enfant n’est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l’attend…
Il n’y avait qu’à voir les sourires après la séance, dans une salle bondée un après midi d’Octobre, pour comprendre combien la séduction de « 9 mois ferme » opérait. Albert Dupontel, toujours aussi convaincant devant et derrière la caméra nous revient et nous de crier alléluia devant ce film sincère, profondément drôle et touchant. C’est certainement ce dernier qualificatif qui retiendra mon attention. Dupontel, s’il est l’auteur de séquences burlesques toujours aussi délicieusement décalées (cf. ses influences à la monthy python), a sorti un atout maître de sa manche : Sandrine Kiberlain, absolument irrésistible de bout en bout et qui se voit là offrir un rôle comique comme on en voit peu dans le cinéma français contemporain. Tendre encore, comme la rencontre improbable entre ce juge d’instruction et le présumé Serial Killer « globophage », bête parmi les bêtes (au sens propre comme au figuré). Dupontel et Kiberlain font mouche avec également des seconds rôles hilarants dans cette satire féroce de la justice. Une mention spéciale à l’avocat au phrasé que nous dirons pour le moins hésitant.. Loin, tellement loin au dessus de la mêlée des comédies franchouillardes à l’humour gras et vain. 1h20mn d’une parenthèse délicate et déjantée, additive et hautement recommandable. Ma note :5/5.
2) « Zero Dark Thirty » de Kathryn Bigelow
Box Office France : 524 533.
L’Histoire : Le récit de la traque d’Oussama Ben Laden par une unité des forces spéciales américaines..
On pouvait craindre le pire, comment Hollywood allait-il traiter la traque la plus spectaculaire de l’histoire humaine, ou comment la puissance n°1, Les Etats-Unis d’Amérique, a t’elle fait pour retrouver et exécuter celui qui symbolisera l’horreur absolue du terrorisme aveugle pendant près d’une décennie, Oussama Ben Laden ? Un sacré sujet qui bien évidemment pouvait finir entre de mauvaises mains, fort heureusement chers ami(e)s c’est la réalisatrice oscarisée de « Démineurs » Kathryn Bigelow qui est aux manettes de ce projet cinématographique qui avait tout pour créer la polémique, qu’allait-on voir ou ne pas voir à l’écran ? « Zero Dark Thirty » démarre sobrement avec ce choix très judicieux à mon sens de ne diffuser que les bandes sons du 11 septembre 2001 sans les images. L’impact est alors encore plus forte car personnes n’a pu oublier ces images indicibles. Premières minutes en forme de coups de poing comme ces coups qui pleuvent sur un détenu torturé. Bigelow a choisi de montrer la guerre dans ce qu’elle a aussi de moins glorieux, la torture et ce débat sempiternel, des démocraties peuvent-elles utiliser la torture, même au nom de la lutte contre le terrorisme, pour obtenir des informations sur l’ennemi public n°1 du monde libre ? Bigelow vous laisse libre de votre opinion, ne cherchant pas à vous amener dans l’un ou l’autre camp et ce sera le cas tout le long du métrage. Les faits rien que les faits et nous de plonger dans les arcanes et les atermoiements d’une Amérique décontenancée face à cet ennemi d’un nouveau jour, cette hydre devrais je dire. Le plus saisissant dans ce film c’est de mesurer la solitude de l’équipe qui a pour mission de retrouver ce fantôme qu’était devenu Ben Laden, ce mythe pour qui chaque jour passé loin des griffes du grand Satan Américain était une victoire. Rien ne nous est épargné et nous de revisiter dix années d’horreurs qui se sont succédé dans le monde. Impossible de décrocher une seule fois durant ces 2h29mn que dure le long métrage de Bigelow. Les acteurs sont tous sobres et efficaces, Jessica Chastain en tête, car c’est à son acharnement, à son obsession, à son courage que l’Amérique doit sa rédemption et sa vengeance tant souhaitée. Cette transcription de la réalité de ce que nous avons pu suivre pendant près de dix ans sur tous les écrans du monde est saisissante et c’est la force majeure de ce film jamais manichéen. La dernière demi heure est d’une intensité à couper le souffle. Je n’ai que rarement été aussi pris par un film alors que nous connaissons pourtant l’issue. Là encore le traitement de l’assaut sur la « forteresse » D’Oussama Ben Laden est un modèle du genre. Éprouvant pour les nerfs l’on est saisit par la qualité de la reconstitution des lieux, rien que pour cette dernière demi heure le film mérite d’être vu. Kathryn Bigelow réussit ici encore un tour de force en s’emparant d’un sujet qui était loin d’être évident à porter à l’écran. Elle réussit grâce à sa parfaite maîtrise tant formelle que sur le fond à nous délivrer un film d’une rare puissance émotionnelle. Je n’ai qu’un seul mot à dire : bravo ! Ma note :5/5.
1) « La vie d’Adèle chapitre I et II » de Abdellatif Kechiche
Box Office France : 738 268.
L’Histoire : À 15 ans, Adèle ne se pose pas de question : une fille, ça sort avec des garçons. Sa vie bascule le jour où elle rencontre Emma, une jeune femme aux cheveux bleus, qui lui fait découvrir le désir et lui permettra de s’affirmer en tant que femme et adulte. Face au regard des autres Adèle grandit, se cherche, se perd, se trouve…
Il y a peu de moments comme cela. Je me faisais la réflexion en sortant de la séance de « La vie d’Adèle chapitre I et II » d’Abdellatif Kechiche, palme d’or 2013 à Cannes s’il est besoin de le rappeler, et prix d’interprétation féminine pour les deux comédiennes : Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos, depuis combien de temps n’avais tu pas été à ce point ému et touché par un film d’une telle ampleur ? je songeais à James Gray, Wong Kar Wai, Terrence Malick.. des films qui ont déjà quelques années mais qui sont pour moi d’authentiques chefs d’œuvres : « Two Lovers », « In the Mood for love », « Les moissons du ciel ».. au panthéon du cinéma je puis dire que Kechiche les a rejoins, et de quelle manière ! Trois heures qui ne semblent s’écouler qu’en un pur instant de grâce, de sensibilité, d’amour.. car oui c’est ici d’amour qu’il s’agit, la passion qui déchire le ventre, qui vous fais perdre la raison et le peu de foi qu’ils nous restent.. Adèle, c’est le portrait d’une jeune fille qui se cherche, doute, avant de croiser sur son chemin les écueils d’une vie qu’elle pense maîtriser mais qui en réalité lui échappe (comme à nous) comme les élans de nos cœurs. Le portrait d’une adolescente puis d’une jeune femme qui doit s’accepter jusque dans sa différence. Mais de quelle différence parle t’on au fait ? elle n’a ici plus aucune importance et c’est là où réside précisément le génie de Kechiche qui tout en ne cessant de nous la montrer sous nos yeux, réussis à nous la faire oublier dans un même élan. Adèle, c’est aussi le portrait d’une génération qui doit comme à chaque fois, lutter pour faire imposer ses choix. Adèle est splendide, incroyablement photogénique et dotée d’un talent d’actrice peu commun. Retenons ce nom qui est de tous les plans car il consacre une véritable révélation : Adèle Exarchopoulos. Œuvre maîtresse réalisée avec une grâce folle, habitée par des comédiennes exceptionnelles, Kechiche nous livre ici le film de l’année 2013, sans l’ombre d’un doute pour moi. Ma note :5/5.
Mes meilleurs vœux pour 2014, merci de votre soutien Dudesque à souhait et rendez-vous en 2014 pour vivre une année cinéma qui s’annonce très riche.
The Dude ou Frédéric.
Coucou, me revoilà !
J’ai vu 30 films cette année et une dizaine de courts-métrages… J’en ai raté quelques-uns que j’aurais aimé voir… mais je me rattraperai…
Je vais te proposer un top 10, ( ça va être un peu long ! ) un peu différent de tes choix, ( eh oui, je vais aussi faire dans le film romantique ! ), pour y inclure des films qui sont restés bien peu longtemps parfois dans les salles, quand ils ont eu la chance d’y parvenir, la diffusion privilégiant de plus en plus les « grosses machines », avec Pub d’enfer qui m’ôte parfois l’envie d’aller les voir !
10 – « Les beaux jours » – Réalisé par Marion Vernoux – Avec Fanny Ardant, Laurent Lafitte, Patrick Chesnais…D’après le roman de Fanny Chesnel « Une jeune fille aux cheveux blancs » – Comédie Romance – France – De magnifiques interprètations !
Des beaux jours ? Caroline, fraîchement retraitée, n’a que ça devant elle : du temps libre et encore du temps libre. La belle vie ? Pas si simple… Comment alors tout réinventer ? Transgresser les règles, provoquer de nouvelles rencontres ou bien simplement remplir son agenda ? A moins que tout ne soit déjà là ?
* Je mets un bémol juste pour la scène de fin qui ne me semble pas utile… *
9 – « Alabama Monroe » – Réalisé par Felix van Groeningen – Avec Johan HELDENBERGH, Veerle Baetens, Nell Cattrysse… – DRAME ( Dur ! ) – Belgique
Didier et Élise vivent une histoire d’amour passionnée et rythmée par la musique. Lui, joue du banjo dans un groupe de Bluegrass Country et vénère l’Amérique. Elle tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, Maybelle..
Tout semble aller pour le mieux dans la vie d’Elise et Didier. En plus de donner naissance à leur premier enfant, leur groupe de musique bluegrass connaît de plus en plus de succès et la petite famille compte élire bientôt domicile dans une magnifique maison de campagne. Le couple est toutefois confronté au cauchemar de tout parents lorsque la petite Maybelle trépasse suite à un long combat contre le cancer. Après les funérailles, rien n’est plus pareil. Malgré les efforts de Didier, Elise n’arrive pas à reprendre une vie normale. La blessure ne cicatrise pas, et pourrait bien avoir raison de leur union…
8 – « Elle s’en va » – de Emmanuelle Bercot avec Catherine Deneuve, Nemo Schiffman… – Comédie romantique – France
Bettie, la soixantaine, se voit soudain abandonnée par son amant et en péril financier avec le restaurant familial. Que faire de sa vie ? Elle prend sa voiture, croyant faire le tour du pâté de maison pour aller chercher des cigarettes. Ce sera une échappée. Au fil de la route : des rencontres de hasard, un gala d’ex-miss France, le lien renoué avec sa fille, la découverte de son petit-fils, et peut-être ….. Un horizon s’ouvre à elle.
7 – « My sweet pepper land » – de Hiner Saleem avec Korkmaz Arslan, Golshifteh Farahani. – Drame, thriller – France, Allemagne, Kurdistan
Au carrefour de l’Iran, l’Irak et la Turquie, dans un village perdu, lieu de tous les trafics, Baran, officier de police fraîchement débarqué, va tenter de faire respecter la loi. Cet ancien combattant de l’indépendance kurde doit désormais lutter contre Aziz Aga, caïd local. Il fait la rencontre de Govend, l’institutrice du village, jeune femme aussi belle qu’insoumise…
* Aucune Pub, dommage ! … Si tu le vois passer, ne le manque pas ! *
6 – « Le temps de l’aventure » – Un film de Jérôme Bonnell avec Emmanuelle Devos, Gabriel Byrne. – Comédie dramatique, Romance – Français , belge , irlandais
Une journée. Un train. Deux inconnus.
Des échanges de regards, le cœur qui bat.
Le regarder partir, le perdre à tout jamais ou s’offrir au temps de l’aventure ?
* Merveilleuse, comme toujours, Emmanuelle Devos !!! *
5 – « Grand central » – de Rebecca Zlotowski avec Tahar Rahim, Léa Seydoux. – Drame, Romance – France –
Gary est jeune, agile, il apprend vite. Il fait partie de ceux à qui on n’a jamais rien promis. De petits boulots en petits boulots, il est embauché dans une centrale nucléaire.
Là, au plus près des réacteurs, où les doses radioactives sont les plus fortes, il trouve enfin ce qu’il cherchait: de l’argent, une équipe, une famille.
Mais l’équipe, c’est aussi Karole, la femme de Toni dont il tombe amoureux. L’amour interdit et les radiations contaminent lentement Gary. Chaque jour devient une menace…
* Regrettable qu’il ne reste qu’une semaine en salle en province ! Et aucune Pub ! *
4 – « Le passé » – de Asghar Farhadi avec Bérénice Bejo, Tahar Rahim, Ali Mosaffa… – Drame – France
Après quatre années de séparation, Ahmad arrive à Paris depuis Téhéran, à la demande de Marie, son épouse française, pour procéder aux formalités de leur divorce. Lors de son bref séjour, Ahmad découvre la relation conflictuelle que Marie entretient avec sa fille, Lucie. Les efforts d’Ahmad pour tenter d’améliorer cette relation lèveront le voile sur un secret du passé.
* Toujours des films forts et d’excellents jeux d’acteurs *
3 – « Blue Jasmine » – de Woody Allen – avec Cate Blanchett, Alec Baldwin, Sally Hawkins…
Comédie dramatique – Américain
Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.
* Un pur Woody Allen ! J’ai adoré ! *
2 – « Django Unchained » – de Quentin Tarantino
avec Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio … – Western – Drame – Américain – Interdit aux moins de 12 ans
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…
* On retient son souffle !!! *
1 – « La vie d’Adèle chapitre I et II » de Abdellatif Kechiche
Là, je ne détaille pas, on se retrouve !!!
*** J’ai envie aussi de rappeler 2 performances d’acteurs
Michel Bouquet dans « Renoir » et Thierry Lhermite dans « Quai d’Orsay » ! ***
Voilà, c’est long, mais il y avait quelques films plus rares qui me tenaient à cœur !
Bizzzzzzzz et à bientôt …….. et Bonne Année 2014, cinématographique et Autres ………….
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Coucou Marithé ! tout d’abord laisse moi te souhaiter mes meilleurs vœux pour cette année qui va être riche une nouvelle fois en découvertes culturelles que nous avons toujours autant de plaisir à partager. Merci beaucoup pour tes vœux et pour ce top 10 qui a fière allure ! Le Tarantino et le Woody Allen je les aient malheureusement manqués, le tarantino est en dvd à pas cher je vais donc me rattraper assez vite 😉 Le passé me fais très envie aussi, bérénice béjo j’adore tout comme tahar rahim, quel charisme ! « My sweet pepper land » je le note aussi, tout à fait dans mon style ce film. « Alabama Monroe » était diffusé dans mon cinéma préféré mais il n’est pas resté assez longtemps pour que je puisse le voir, la bande annonce est très réussit. Merci encore pour ce beau partage Marithé 🙂 pour cette année 2014 je t’invite à regarder cette bande annonce qui m’a beaucoup plu « Tonnerre » de Guillaume Brac qui sort le 29 janvier 2014,une histoire d’amour, j’ai hâte tout en croisant les doigts pour qu’il soit diffusé dans mon cinéma préféré 😉
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=217778.html
Je nous souhaite à tous les deux de pouvoir partager encore et pour longtemps notre soif insatiable de cinéma ! Passe un bon week end, bisous de ma Bretagne où il ne fait que pleuvoir, @plus tard sur wordpress !
Frédéric.
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Coucou The Dude ! Tout d’abord, je te souhaite une très belle année 2014 pleine de bonheur et de joie, et bien sûr remplie de séances de cinéma 🙂
Je ne peux pas dire que je suis allée beaucoup au ciné cette année, sur les 5 que tu cites je n’ai vu qu’Oblivion que j’ai beaucoup aimé. J’essaierai de me rattraper cette année (j’ai maintenant droit à des réductions, alors… 😉 ).
Gros bisous d’un Var très très pluvieux en ce moment. N’oublie pas une grande caresse de nouvelle année à Malzenn !
A bientôt sur WordPress
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Coucou ma chère Zabou, c’est très gentil à toi, merci beaucoup ! laisse moi à mon tour te souhaiter pleins de belles choses pour cette année, notamment au niveau de la photographie, domaine dans lequel tu excelles à mon sens. Pour le cinéma, c’est cool que tu es des réducs, moi je vais souvent le mardi au ciné, je profite du cinéday orange 1 acheté, 1 offerte car c’est vrai que sinon c’est assez cher tout de même mais bon j’adore ça découvrir les nouveautés et les partager ensuite avec toi et d’autres amateurs éclairés. Je ne manquerais pas de faire une caresse à Malzenn en ton nom, la pauvre s’ennuie un peu car il ne fait que pleuvoir depuis plusieurs jours.. Bretagne berce mon coeur .. 😉 😉 Gros bisous de ma pointe bretonne et @très vite sur wordpress Zabou !
Frédéric.
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Joli top 😉
Et je suis bien d’accord, heureusement que l’on a de bonnes surprises par moment ^^
C’est la magie cinéma 🙂
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merci Laura 😉 c’est vrai toute la magie du cinéma c’est de se laisser surprendre par quelque chose qui nous dépasse, nous transporte loin, très loin.. l’année 2014 va être belle crois moi !! 🙂 bisous 🙂 🙂 😉
Frédéric.
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Ah j’espère bien en tout cas 😉 en tout cas ça laisse rêveur ❤
Bisousss
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