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L’Histoire :
Lorsque la caverne où ils vivent depuis toujours est détruite et leur univers familier réduit en miettes, les Croods se retrouvent obligés d’entreprendre leur premier grand voyage en famille. Entre conflits générationnels et bouleversements sismiques, ils vont découvrir un nouveau monde fascinant, rempli de créatures fantastiques, et un futur au-delà de tout ce qu’ils avaient imaginé. Les Croods prennent rapidement conscience que s’ils n’évoluent pas… ils appartiendront à l’Histoire.

Retenez bien le nom de cette famille pas comme les autres : « Les Croods ! » Une nouvelle franchise est née et le moins que l’on puisse dire c’est que je lui prédis le plus grand avenir. En effet, ce film d’animation signé Dreamworks permet à ce dernier de se rapprocher du meilleur des concurrents de Pixar et ce n’est pas un mince exploit tant le fossé semblait se creuser ces dernières années. Dreamworks peut avoir le sourire avec cette famille complètement préhistorique et dingue. La rencontre entre ces esprits primitifs avant tout guidés par leurs peurs ancestrales et un jeune garçon à l’esprit ingénieux maîtrisant l’art de créer le feu, est l’occasion d’assister à des séquences toutes plus hilarantes les unes que les autres. Les Croods ont l’art de la réplique et chacun des membres de cette famille très spéciale est finement écrit par des scénaristes inspirés. Ils sont tous plus drôles les uns que les autres, mention spécial au rapport beau fils – belle mère qui donne lieu à des dialogues désopilants et je pèse mes mots. Du rire donc mais également un spectacle de haute volée tant les couleurs et leurs rendus graphiques sont séduisants. Certaines séquences m’ont paru très inspirées par Avatar et son univers chatoyant, esthétiquement parlant bien sûr. Beauté des décors, dialogues ciselés au cordeau, personnages hautement attachants et d’ors et déjà cultes rendent ce divertissement hautement fréquentable. C’est Le film d’animation à ne pas manquer, un remède contre la sinistrose ambiante. Face au succès des Croods, Dreamworks a annoncé une suite avec aux manettes la même équipe de fous furieux. C’est simple, moi les Croods j’en redemande ! Ma note :5/5.

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Jack-le-Chasseur-de-Geant-Affiche-Finale-FranceL’Histoire : Lorsqu’un jeune fermier ouvre par inadvertance la porte entre notre monde et celui d’une redoutable race de géants, il ne se doute pas qu’il a ranimé une guerre ancienne… Débarquant sur Terre pour la première fois depuis des siècles, les géants se battent pour reconquérir leur planète.

Allez ne nous le cachons pas, lorsque j’ai pris la décision d’aller voir « Jack le chasseur de géants » pour 4.90 euro seulement, je m’attendais à un honnête divertissement avec aux manettes le réalisateur qu’on ne présente plus : Bryan Singer. Un long métrage truffé d’effets spéciaux plutôt réussis, j’insiste vraiment sur le  « plutôt », peuplé de créatures géantes amateurs de chair humaine et n’ayant plus qu’une idée en tête celle de descendre ce maudit haricot géant afin de mettre à genoux un royaume où vit un roi et.. sa fille qui est, vous ne devinerait pas.. une princesse. Là-dessus, patatras.. elle rencontre un certain Jack, paysan de son état. Elle tombe folle amoureuse de lui et.. et bien je ne vous dis pas la suite non mais vous vous attendiez à quoi 😉 Le rythme est assez soutenu, les péripéties bien amenées mais voilà, l’ensemble manque cruellement de souffle et disons le tout de go de puissance esthétique. Un produit calibré, ni plus mauvais, ni plus bon qu’un tas d’autres films du même style. Ce n’est malheureusement pas ce pauvre Jack qui sauvera ce spectacle d’un ennui poli. Cet acteur m’a laissé béat tant il est fade à l’écran, un charisme inexistant, des expressions ou plutôt des tics d’acteurs à faire pâlir les réalisateurs d’AB Production, à côté de lui Ewan Mc Gregor passe presque pour un bon acteur, c’est dire la performance de cet obscur inconnu tout droit sorti d’un casting improbable. Alors qu’ajouter de plus sinon qu’il plaira sûrement aux enfants. Moi pour l’heure, je passe mon chemin et lui accorde la mention passable parce que moi aussi je demeure un inconditionnel des géants. Ma note :3/5.

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