
Mon avis : Un premier roman de Belinda Bonazzi, sensible et poétique sur fond de résilience, d’amitié au gré des horloges de nos vies. Jamais plombant mais, bien au contraire, lumineux et sincère dans une démarche d’écriture célébrant ce qui fait le sel de l’existence.
Je remercie chaleureusement pour ce service presse, l’auteure Belinda Bonazzi et les éditions Maia.
Un premier roman au titre énigmatique et mystérieux « L’horloge, claire et notre voyage en train vers la mer » signé Belinda Bonazzi. Un roman qui résonne comme les battements d’un cœur endolori qui souhaite faire don de résilience et s’ouvrir à nouveau à la lumière. Belinda, on le ressent fortement à la lecture, à mis dans ce roman, une part de son vécu personnel qui a nourrit ce récit et qui le fait résonner d’une façon particulièrement belle, le tout avec une sincérité désarmante. Belinda a publiée son livre aux éditions Maia. C’est la naissance d’une auteure à part entière, avec son style d’écriture poétique, sensible, étonnant aussi parce que constellé de références musicales qui résonnent en nous. La part offerte à la mélodie, celle du cœur et de l’amitié qui transcendent la mélancolie, l’absence. Notre narratrice est une jeune femme qui travaille dans un théâtre, le lieu des mots par excellence. Des mots elle en a besoin, le réconfort, l’offrande d’un sourire qui éclaire une journée. Notre narratrice souffre et sa peine d’avoir perdu son frère alors qu’il n’était encore qu’un tout jeune homme, est une plaie encore à vif. le jour où elle reçoit un courrier d’une certaine Claire, elle découvre que son frère Bruno était en réalité un enfant adopté et que Claire est la véritable sœur biologique de Bruno. Cette horloge qui semble guider les événements de sa vie. Comment expliquer autrement cette rencontre magique avec Claire qui va ouvrir un champ des possibles fait d’amitié, d’entraide, d’échanges, de surprises et de révélations qui font de ce récit un cheminement sensible et personnel vers le mieux être et l’acceptation. Tantôt perché sur le versant poétique et lunaire, volontiers rêveur, drôle, ou bien penchant vers un versant émotionnel, douloureux qui n’est jamais dans la surenchère, la victimisation. Message d’espoir, réflexion sur la vie, l’amitié, les basculements qui nous font passer d’une séquence à une autre, Belinda Bonazzi s’inscrit comme une auteure talentueuse et sincère dans sa démarche d’écriture. On vibre aux murmures de cette horloge qui s’inscrit dans notre chemin de vie et qui fait battre nos cœur à l’unisson.

Voilà un récit qui a su toucher, semble-t-il !
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Sûrement une jolie lecture. L’histoire a l’air touchante.
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J’aime beaucoup découvrir le premier roman d’un auteur.
Il y met souvent tout son coeur.
Le parcours est difficile.
Alors merci Fred pour cette belle critique. Je vais le lire prochainement.
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C’est un très joli roman ! Belinda Bonazzi a beaucoup de talent et son livre mérite d’être lu. Un coup de cœur ! Merci beaucoup ! 😊
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C’est beau premier roman ! Sa lecture est fort agréable.
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Oui totalement, un beau premier roman à l’écriture sensible et poétique. Beau weekend Matatoune ! 🙂
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