books-1655783_1920Cette 553ème notes est aussi l’occasion de célébrer les 9 ans du blog sur WordPress ! Le 11 septembre 2010, je démarrais l’aventure WordPress.

Merci à toutes et à tous pour ces échanges et partages ! Vous êtes de plus en plus nombreux. L’aventure continue !

2737134.jpg-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxxL’Histoire : Rats enragés, New Coke, espionnage soviétique, nouveau centre commercial… À Hawkins, l’été 1985 s’annonce prometteur en aventures, et en changements cruciaux.

« Stranger Things 3 » ou comment les frères Duffer se sont surpassés pour nous offrir le feu d’artifice visuel et émotionnel qui constitue l’apothéose d’une série qui n’en fini pas de nous faire rêver ! La BO est géniale, les effets spéciaux dignes des meilleurs blockbusters et plus que jamais les enjeux sont importants avec un scénario qui monte crescendo pour nous rendre totalement fou à partir de l’épisode 5, dans cet hôpital lugubre en proie à cette créature sortie des Ténèbres et aussi flippante que les Aliens du grand Ridley Scott. La suite est un régal avec les épisodes 7 et 8 qui resteront, à n’en pas douter, dans les annales. Aujourd’hui, « Stranger Things » est un phénomène planétaire et on peut dire, sans risquer de se tromper, que le succès n’est pas près de s’arrêter là. Encore une fois la force de cette série, ceux sont ces acteurs/actrices qui forment une bande de potes dont on aimerait en être. On ressent cette complicité, les millions de dollars de leurs contrats pharaoniques ne leurs ont pas encore fait tourner la tête. Millie Bobby Brown qui joue, est-il besoin de le rappeler, Eleven, est toujours aussi charismatique et elle est épatante que ce soit dans les scènes d’actions ou dans le registre plus intime. C’est une immense actrice et l’atout numéro un de la série. Car nos héros ont bien grandi et les questionnements de l’adolescence sont prégnants dans la saison 3. L’amour, la fin de l’enfance, les départs.. tout cela bouleverse l’équilibre de Hawkins.. Les petits nouveaux sont vraiment bons, je pense à Maya Hawke ou « Robin » qui forme un duo épatant avec Steve. Mais il y a aussi la petite Priah Ferguson en « Erica » qui, moi, m’a fait mourir de rire. En parlant de « Steve », Joe Keery est l’acteur que je préfère dans la série. Qu’est ce qu’il est drôle, touchant aussi, c’est un bonheur de le voir aussi important dans cette saison 3. De ce point de vue, les frères Duffer ont bien compris l’intérêt de le mettre en lumière ! Vient enfin la bande de potes qui ont bien grandi avec « Dustin » en tête, drôle, lunaire.. « Mike » qui cherche à saisir les affres de son « amour/amitié » pour « Eleven ».. « Lucas », « Will » et enfin « Max » à son sommet, drôle, espiègle, forte en gueule. Sadie Sink qui joue « Max » est assurément une actrice à suivre de près. Petite déception pour « Nancy » et « Jonathan », un peu fades dans cette saison. C’est mon seul petit bémol. J’ai également adoré le jeu du chat et de la souris entre « Jim » (David Harbour) et « Joyce » (Wynona Ryder), tous les deux excellents et drôles. Enfin, comment ne pas terminer cette chronique sans parler de « Billy » (Dacre Montgomery) au cœur des intrigues liées à la créature. La fin de « Stranger Things 3 » m’a beaucoup plu. Je n’en dis pas plus pour éviter de spoiler ceux qui n’auraient pas encore vu cette saison 3. Elle apporte son lot d’émotions et de réflexions quand à la saison 4 que j’attends d’ors et déjà de pied ferme. Le placement des produits dans la série m’a fait sourire : Coca cola, Burger King et j’en passe. Il n’y a pas de petits profits.. Avec cette saison 3, « Stranger Things » renoue avec sa maestria des débuts et consolide son statut de série culte et phare de Netflix. Les frères Duffer ont réussi leur pari et signe ici la meilleure saison de « Stranger Things ». Netflix peut se frotter les mains, le succès de leur poule aux œufs d’or n’est pas prêt de s’effriter !

Ma note: 5/5.

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