L’Histoire : Après des années passées seule dans la forêt à étudier les arbres, la botaniste Pat Westerford en revient avec une découverte sur ce qui est peut-être le premier et le dernier mystère du monde : la communication entre les arbres. Autour de Pat s’entrelacent les destins de neuf personnes qui peu à peu vont converger vers la Californie, où un séquoia est menacé de destruction.
Richard Powers communie avec la nature dans son roman « L’Arbre-monde« , hymne panthéiste aux facettes multiples et proprement miraculeuses. On est bluffé par l’ambition folle de ce roman somme qui dresse un tableau très percutant et lucide sur les dégâts provoqués par la surexploitation des domaines forestiers aux États-Unis et ailleurs dans le monde. Nous suivons les destins de neuf personnes qui vont converger vers la Californie, où un séquoia est menacé de destruction. La catastrophe est imminente et Richard Powers est ainsi sans concession avec les multinationales qui engrangent des bénéfices sur l’instant, sans envisager une seule seconde, la question de l’avenir des grandes forêts qui rétrécissent à vue d’œil. Avec la disparition programmée des forêts, c’est tout un écosystème dont nous effleurons à peine toutes les potentialités formidables, qui se voit menacé d’extinction. L’heure est grave et l’auteur de sonner le tocsin en nous racontant le combat, la lutte acharnée de ces écologistes prêt à sacrifier leur vie pour mettre fin à cette destruction, qui met en péril l’avenir même de l’humanité. Avec fulgurance et dans un style admirable, flamboyant, Richard Powers tisse une histoire tentaculaire où chacun à sa façon, selon ses qualités, son parcours, ses failles, tente de tisser un lien avec la nature qui se distend. Le parallèle entre l’arbre de la forêt qui forme un monde tentaculaire où chaque être, même le plus infime à son rôle et sa place, et l’espace infini du web et l’hyper connectivité d’un monde de plus en plus virtuel, détaché de ces racines, celles de la nature exubérante, protéiforme et luxuriante, est très juste. Notre monde voit des bouleversements colossaux se dresser et des défis écologiques majeurs à affronter dans les prochaines décennies. L’auteur questionne ainsi notre rapport au monde et à son poumon qu’est l’arbre constituant les cathédrales de verdures. Cette symphonie, cette célébration de l’arbre en tant qu’entité vivante en voie de disparition, menacé par la pression croissante d’un monde devenu fou, est passionnante. On apprend beaucoup d’éléments sur ces écosystèmes. Érudit sans être redondant, « L’arbre-monde » est un drame en plusieurs actes d’une beauté stupéfiante, d’une richesse, d’une vérité qui suscite chez moi l’admiration. Peu d’écrivains sont de taille à concevoir et mener à bien un tel projet d’écriture. Richard Powers prouve, s’il en était besoin, qu’il fait partie des géants de la littérature américaine ! Une œuvre admirable pour ceux et celles qui souhaitent réfléchir aux conséquences désastreuses de cette marche en avant suicidaire d’un monde brûlant ces propres vaisseaux et sombrant avec eux. Le cataclysme peut bien advenir pour l’humanité, mais depuis les souches pourries, les vestiges des forêts d’autrefois, sous la terre, la vie déjà reprend ses droits. Car nous ne sommes que de passage.. Si vous voulez en apprendre davantage sur le drame écologique qui se joue actuellement, nul doute que la lecture du dernier Richard Powers vous sera salvatrice. Ce brûlot aux ambitions vertigineuses est, à mon sens, une œuvre incontournable et nécessaire. Un viatique écologique qui nous fait prendre la juste mesure de ce que nous risquons de perdre si nous ne prenons pas conscience du péril imminent qui nous guette. Richard Powers fait avancer la cause écologique. Il convient de souligner également qu’avec « l’Arbre-monde », Richard Powers s’est vu décerner en novembre 2018 le Grand Prix de littérature américaine, avant de se voir récompenser, dans la catégorie fiction, au mois d’avril par le prestigieux Prix Pulitzer 2019. Deux récompenses majeures qui soulignent, s’il en était besoin, combien Richard Powers est un immense auteur américain. Je ne peux que vous recommander chaudement « L’Arbre-Monde ».
Ma note: 5/5.
Broché: 550 pages
Éditeur : Cherche Midi (6 septembre 2018)
Langue : Français
Ton propos donne très envie de lire ‘l’arbre monde’.
J’imagine qu’après avoir lu le bouquin, j’aurai un peu plus de rage envers l’espèce humaine (dont je fais partie) et qui se prétend supérieure à tout et en tout, mais je suis curieuse de savoir ce qui se passe dans le monde des arbres.
Je sais qu’ils se soutiennent, s’apprécient ou pas… Mais il y a surement bien plus à découvrir.
Bon weekend!
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C’est un livre passionnant. L’auteur décrit les actions d’hommes et de femmes écologistes qui tentent l’impossible pour mieux faire comprendre ce monde des arbres. J’ai appris des tas de choses sur le fait que les arbres sont un et multiple en même temps car leurs racines communiquent. Ils sont vivant, seulement nous ne les entendons pas parce que nous avons désappris le langage de la nature au profit de l’argent et du consumérisme. Un livre qui fait réfléchir. Je l’ai trouvé incroyable cet auteur. Bon weekend Colette et merci 🙂
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L’arbre monde, je le veux ! 😉😎😸
Tu peux t’en douter d’ailleurs… Pour moi, le monde est complètement lié à l’arbre …
J’avais lu le roman « Le journal intime d’un arbre » de Didier Van Cauwelaert en 2011…et d’ailleurs il me l’a dédicacé et signé par les mots » les confidences d’un déraciné »…
Le langage des arbres est le mien d’ailleurs je crois avoir été Olivier 😽😉
Bon WE que j’espère illuminé.
Bisous Frédéric.
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Coucou Cat ! Ah c’est une œuvre magnifique sur un sujet passionnant : comment ces neuf personnes vont se retrouver à un moment donné de leur vie à se préoccuper de l’avenir des forêts, qui sont des écosystèmes extrêmement complexe avec leur langage propre car nous le savons (et nous le ressentons) toi et moi : les arbres parlent. Seulement, les humains oublient de se connecter à la nature pour privilégier un monde asservi à l’argent, au profit sans jamais songer à l’avenir de la planète. C’est un livre qui fait aussi chaud au cœur, en ce sens où nous nous disons qu’il y a des énergies qui s’unissent pour tenter de sauver notre si belle planète. Je note le livre dont tu parles. La dédicace est très belle d’ailleurs. Toucher un arbre c’est comme plonger ses mains dans la terre, on accède à une autre dimension de nous même et on se retrouve à nouveau en vibration avec la terre mère. Beau weekend Cat, merci, Bisous de Bretagne 🙂
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Il me tente bien ton livre, Frédéric. J’aime les arbres, et je ne manque pas une occasion pour aller en forêt. J’avais beaucoup aimé le livre » le bain de forêt » de Eric Brisbare .Notre randonnée , demain matin aura lieu dans une forêt..
Beau week-end à toi !!
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Je te suis à grand pas…
Jean-Marie Pelt a été également mon tuteur, celui qui m’a élevé dans mes approches de la nature… Un de ses livres que je te conseille est » Les langages secrets de la nature » .
Tes paroles sont magnifiques et tellement vraies.
Quand je touche un arbre, je me sens tellement petite et humble…devant moi j’ai 3 centenaires qui me protègent et sont mes antennes , mes prolongements…!
Quel est ton ou tes arbres préférés !
Bisous Fred
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Sur les arbres, il écrit son nom !
Son bouquin, il est bien en papier ? C’est un concept.
Moi je parle à mes buis, les grands machins m’intimident trop.
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Merci Claude ! Moi aussi les balades en forêt j’adore ça avec ma chienne Malzenn. C’est un livre magnifique : le style, l’histoire, ce que l’on apprend sur les arbres, les forêts, les hommes qui les défendent.. C’est un gros coup de cœur ! Beau weekend à toi et bonne randonnée en forêt demain 🙂
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Je note le nom de Jean-Marie Pelt précieusement. J’aime surtout les hêtres et les chênes qui sont parmi mes arbres préférés ! Chez mes parents, il y a de beaux arbres; chez mon frère aussi et j’adore les toucher ! J’imagine comme ils doivent être beau ces trois arbres chez toi. Et toi Cat, quel arbre préfères-tu ? Bisous de Bretagne 🙂
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Je peux comprendre ton point de vue. C’est un immense auteur et un très beau livre. Maintenant c’est vrai qu’il faut apprécier les arbres, les forêts pour pouvoir s’immerger dans ce texte. Ainsi dont tu parles au buis.. et je dis pourquoi pas ^^ Moi j’aime toucher et parler aux arbres, ils ont tant de choses à nous apprendre 😉
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Je suis comme toi, j’adore les toucher et ma préférence va à l’olivier ! Ses symboles sont l’espérance, la paix, la fidélité,, la forcé et, la longévité… Et une couronne rappelle, entre autres, la naissance des jeux olympiques. Un sacré programme 😊😉 bisous
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ah oui l’olivier, c’est fort et beau comme symbole 🙂 bisous !
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J’avais été bouleversée par son livre: » le temps où nous chantions »(Un chef d’œuvre pour moi). Ta critique de « l’arbre monde » me donne envie de le lire, le sujet est passionnant. Je me souviens de Cabrel: » l’arbre va tomber »
L’arbre va tomber
Les branches salissaient les murs
Rien ne doit rester
Le monsieur veut garer sa voiture
Nous, on l’avait griffé
Juste pour mettre des flèches et des cœurs
Mais l’arbre va tomber
Le monde regarde ailleurs….
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Il faut absolument que je lise « le temps où nous chantions ». Oui j’avais oublié cette jolie chanson et ce texte de Cabrel. J’aime beaucoup ! Gros bisous 🙂
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Hello Fred!
Quelle belle chronique!! Dans laquelle j’y lis ton enthousiasme, ton plaisir mais aussi ta vigilance et ton œil attentif par rapport à l’écologie.
Ce livre semble très intéressant, sans être moralisateur.
Je pense que l’écologie est un des sujets primordiaux pour ne pas faire davantage sombrer notre monde… Ta chronique me parle, ce livre me parle et je ne peux que te remercier pour ton magnifique retour!
Bon dimanche mon ami, des bisous!!!
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Coucou Cher Frédéric 😀. J’espère que tu vas bien. Moi, ça va bien…
Ah ! Les arbres ! J’adore… Et ce depuis mes 10 ans exactement…
Lorsque je vivais en Afrique, plus précisément en Guinée à Conakry, j’étais tombée amoureuse d’un immense manguier qui se trouvait dans le jardin de notre maison de fonction… Et ce bel arbre fruitier se trouvait également face à la mer… Le rêve !
Étant une enfant intrépide, j’aimais le grimper en compagnie de mon chat et je m’installais ensuite à sa cime… Et quel plaisir immense pour moi de ressentir toute sa force… De le sentir et toucher… J’en ai d’ailleurs écrit une anecdote en le nommant « Le manguier voyageur »… Car oui, il me faisait voyager rien qu’en étant avec lui…
Il était devenu mon meilleur ami et même mon confident… Pour te dire !
Le contact de son écorce, le vent de la mer qui faisait bouger et frémir ses feuilles… J’adorais !!!
Et sans oublier qu’il donnait de superbes mangues !
Depuis, j’aime toujours autant les arbres… Et pas que les arbres exotiques ! Même si ma préférence reste sur le magnifique baobab que j’ai pu toucher plusieurs fois lorsque je partais en Vacances à Majunga (Madagascar) durant les années 92 à 95… C’était un baobab centenaire sur lequel mes parents avaient gravé leurs prénoms avant ma naissance…
Désolée pour ce long commentaire…
Merci encore Frédéric pour ce très joli partage… Je te fais de gros bisous. À très bientôt 💋 !
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« Le temps où nous chantions » est un des meilleurs romans que j’ai lu; celui-ci me tente mais il est long… comme l’était « Le temps… » ;-D
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J’adore ce billet qui entre en résonance avec ma passion pour cet arbre que beaucoup voudrait couper.
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Ce livre à l’air passionnant ! L’écologie est un thème que j’aime beaucoup retrouver en reportage et finalement que très peu en livre ..; Je ne suis pas du style à toucher les arbres mais qu’est-ce qu’il est agréable de les voir renaître au printemps ❤
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je suis contente de lire un avis sur ce roman! J’ai beaucoup aimé, il m’a marquée (durablement, je l’espère), m’a vraiment apporté quelque chose de neuf mais certaines longueurs m’ont perdue, je trouve ça vraiment dommage.
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Merci, Frédéric, la rando fut agréable avec le soleil !!
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Merci Violette ! C’est un livre qui marque parce qu’il y a un vrai message écologique, c’est écrit avec un talent rare, une érudition sans faille.. on peut c’est vrai relever ici et là quelques petites longueurs mais la puissance d’évocation de ce livre est réelle et son ambition est folle. Excellente soirée 🙂
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Génial ! J’ai pu balader Malzenn et le soleil pointe enfin le bout de son nez en cette fin d’après midi 😉 Excellente soirée Claude 🙂
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Pour moi aussi, le printemps est une vraie source de joie car c’est ma saison préférée. Les oiseaux préparent les nids, les fleurs, les arbres, la vie qui reprend son cours.. C’est un livre magnifique. Il marque car on apprend des tas de choses sur les forêts, les arbres.. L’écologie est une préoccupation majeure de nos générations et je trouve ça génial. Excellente soirée à toi 🙂
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Merci beaucoup ! Je me réjouis de voir à quel point l’écologie est au cœur de nos préoccupations de citoyen/citoyenne (mais pas de nos dirigeants apparemment..) C’est un combat à mener pour notre planète car les arbres c’est la vie. Un livre marquant. 🙂
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Excellent ! Oui c’est vrai que c’est un pavé 😉 mais quel bonheur de lecture, quel beau message écologique. Cela me donne envie de redécouvrir « Le temps où nous chantions » d’ailleurs 😉 Belle soirée à toi !
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Coucou ma chère Cécile ! Tes commentaires sont autant de cadeaux que je reçois avec joie. Je n’ai jamais touché de Baobab, ni de manguier mais à lire tes mots je ressens l’émotion, la sensibilité qui est la tienne et qui est si précieuse. Merci beaucoup pour ce partage. C’est riche. Je sens que comme moi tu as eu la chance d’avoir des parents aimants. C’est si important ce temps de l’enfance. Que de souvenirs. Je t’envoies de gros bisous de Bretagne ! @très vite Cécile ! Amitiés 🙂 🙂
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Coucou ma chère Gwen ! Ce livre est un énorme coup de cœur. C’est un message écologique pertinent, intelligent, une fresque à l’ambition folle ! Quel talent ce Richard Powers. Oui c’est tout à fait ça : il n’est pas moralisateur. Quand on fait de l’écologie comme d’autres font du porte à porte vantant la dernière religion à la mode ou le dernier smartphone.. on cours à l’échec. Ce livre te plairais. Merci pour ton message c’est cool ! Tes mots me font vraiment plaisir. Belle semaine à toi, de gros bisous pour mon amie Alsacienne !! 🙂
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J’ai adoré Le temps où nous chantions, il fait partie de mon panthéon personnel ! (dire qu’il n’est même pas dans mes étagères !) J’attendrai peut-être la sortie en poche de L’arbre-monde pour avoir le temps de bien le savourer et pour pouvoir le garder.
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Coucou Frédéric, Ce livre me tente bien…et même plus…. de part cette envolée de mots sur un sujet préoccupant que sont les arbres, la nature, notre oxygène : la vie ! Merci aussi pour cette vidéo avec l auteur…qui nous remet à notre place mais aussi devant des réalités peu réjouissantes…de part nos comportements peu respectueux…
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Coucou mon poto!
Comment tu vas ?
Oh je vois que tu as été sensibilisé et nul doute que ta conscience est bien présente, sans que qui que ce soit ait à te faire la morale !
Haha je trouve ça tellement ridicule les personnes qui viennent sonner pour vendre de la religion… ça me révulse! Je te souhaite une bien belle semaine mon cher Fred et te fais des bisous!
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Coucou Gwen ! la grande forme, un soleil bien présent en Bretagne aujourd’hui ça fait du bien ! J’ai une grande nouvelle : j’ai divorcé de Spotify pour rejoindre Deezer.. il y a un an je faisais l’inverse.. pas embêtant le mec ^^ lol Gros bisous ensoleillés, passe un excellent weekend Gwen !! 🙂
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Coucou Marie France ! C’est un livre pour les personnes sensibles à la nature, à l’écologie.. Je pense que tu devrais aimé ce livre. Merci pour ton commentaire ! Excellent weekend à toi, Bisous 🙂
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Cela m’a donné l’envie de lire « Le temps où nous chantions » dont tu me dis le plus grand bien. Cela tombe bien, ma mère l’a en sa possession.. je vais lui demandé de me le prêter 😉 « L’arbre-monde » m’a emporté par son sujet passionnant et sa réflexion fort intéressante sur l’écologie. Excellent weekend à toi 🙂
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Le rire !
Fabuleux commentaire.
Merci @princecranoir
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pareil ! @princecranoir a le don pour nous concocter des formules savoureuses 😉
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Hello! 😂 tu m’as bien fait rire!
Pas de garde alternée ?!
Pourquoi ce retour en arrière ?
Gros bisous et un très bon week-end breton au plus cool des fars!!
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Mdr Divorce houleux avec Spotify.. ils sont tristes de me voir partir loll j’ai eu envie de changement 😉 Mes parents se sont abonnés à Deezer. J’ai trouvé que c’était sympa comme présentation, ça a évolué dans le bon sens donc j’ai à nouveau Deezer ^^ Gros bisous pour mon amie alsacienne, grand soleil ici, passe un excellent weekend Gwen 😉 🙂
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Finalement c’est très bien de laisser passer la « foule » avant d’aller lire ton blog 🐢: je profite de tous les commentaires précédents!
Ce livre me semble hyper intéressant, mais il est juste un peu trop long pour moi à cette époque de l’année où je suis prise par une foule d’activités plus ou moins printanières (🐞🐌🌿🌷🌺 🏃🏼♀️🎹😄, et bientôt 🌊🐚😉). En plus, comme je viens de finir « Devenir » de Michelle Obama, qui m’a occupée près de trois mois 🐢🐢, j’aspire à un texte plus court. Je vais voir si Richard Powers a autre chose pour moi. Je peux toujours revenir à L’Arbre Monde l’hiver prochain, n’est-ce-pas?
Merci, Frédéric, bises de la tortue bourbonnaise, bonne semaine!
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Oui tout à fait. Il ne va pas tarder à sortir en poche. C’est un ouvrage dense, magnifiquement écrit et avec un propos sur l’écologie très intéressant, une puissance d’évocation et une ambition folle. Merci à toi de me lire Joëlle ! bises de notre Bretagne pour la tortue bourbonnaise, belle semaine à toi 🙂
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Richard Power, un grand, un incontournable auteur.
Merci pour ce bel avis Fred
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Énorme coup de cœur pour ce livre et cet auteur qui comme tu le dis si bien est incontournable ! Merci pour ton retour Geneviève qui me fais tout particulièrement plaisir 🙂
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Merci à toi de mettre en avant cet auteur que j’affectionne 😉
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Cool, merci ! quel plaisir d’écrire une chronique sur un tel auteur. Richard Powers je le mets moi aussi tout en haut dans mon « panthéon » personnel 😉
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Un point commun 😉
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Un plaisir de te lire bravo
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Coucou Frédéric, j’espère que tu vas bien 😊 Ce livre m’a l’air très intéressant… L’écologie est au coeur de toutes les conversations maintenant et la prise de conscience se fait de plus en plus grande. Je me laisserais bien tenter. Merci pour cette découverte ! Bisous 😃
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Coucou Pauline ! ce livre est un énorme coup de cœur. Le hasard a voulu que je publie cette note quelques jours seulement avant qu’il n’obtienne le prix Pulitzer 2019. Quelle réflexion pleine d’intelligence et menée de main de maître par un Richard Powers en état de grâce. Toi, qui tout comme moi, a le soucis écologique chevillé au cœur et au corps, je pense qu’il te plairais. Excellent weekend, Bisous et @très vite 🙂
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Merci tata, de gros bisous pour toi, @très vite 🙂
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Ce livre me tente trop ! J’ai terriblement hâte de le lire ! Merci pour ce beau billet, Frédéric, bises 🙂
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Merci beaucoup Hélène ! Ce livre est fait pour ta belle sensibilité ! Richard Powers excelle dans la forme (quel style d’écriture sublime) mais aussi sur le fond avec un message écologique d’une profonde intelligence. C’est un roman vertigineux que j’ai d’ailleurs offert autour de moi tant je l’ai apprécié. Bises bretonnes 🙂
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